Sans aucun doute je ne l'aurais jamais fait sans l'impulsion d'un ami qui m'est cher:
le peintre Guy Baudinat.
Il a accepté que je joigne mes sculptures à ses encres et acryliques sur lesquelles il travaille depuis quelques années.
j'aime perdre mon regard dans les dédales que renferment ses petits formats, reconnaitre les silhouettes de ces créatures évanescentes qui flottent ou s'incrustent dans les limbes du papier Velin.
Celles que j'invente remontent de mon inconscient en passant par les cercles de Dante, par l'inconscient collectif qui peut-être, mais peu importe, rejoint le sien...
Je trouve que ces petits formats ouvrent une fenêtre immensément large et libre sur le ressenti ;
la promenade du regard y est longue et sans restriction.
En ce sens pour moi son art n'est pas emprisonnant et c'est ce que j'aime.
la promenade du regard y est longue et sans restriction.
En ce sens pour moi son art n'est pas emprisonnant et c'est ce que j'aime.
Pourtant Guy est une personne
terriblement exigeante et sévère avec son travail : il cherche, détruit
et recommence encore, cherche à nouveau pour approcher au plus près de
l'objectif qu'il s'est fixé et qui lui appartient.

Bon, je n'abuse pas plus parce que, connaissant sa discrétion, je ne voudrais pas le gêner et lui faire regretter son apparition dans mon blog qui me fait très plaisir....
( mais profitez du zoom et même du double zoom pour vous aventurer dans ses fenêtres, il ne dira rien...)
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