ce travail est effectivement la liberté du corps, mais presque illusoire, c'est un peu l'inverse de la sagesse (une autre sculpture), pas de liens sur le corps, un mouvement a priori libre, mais le visage semble plutôt souffrir, entre extase et souffrance on ne sait pas vraiment.
Ses laves abyssales te parcourent le ventre D’amours et d’eaux vives, un continent Magma rougeoyant dans le creux de l’antre Qu’en fusion, d’éruptions te répands
L’amour en fissures que déverse tes flancs Des pentes embrase les vies qu’il emporte Des vals en brasiers ce temps en courant Et libère ses coulées de feu qui te portent
Et mouvances que d’autres voies envoutent Toi, ce volcan, de voute et de dôme éventrés Doutes qui fleuves incandescents déroutent Puis figent d’effrois aux cœurs décors pétrifiés
2 commentaires:
ce travail est effectivement la liberté du corps, mais presque illusoire, c'est un peu l'inverse de la sagesse (une autre sculpture), pas de liens sur le corps, un mouvement a priori libre, mais le visage semble plutôt souffrir, entre extase et souffrance on ne sait pas vraiment.
Entrailles…
Ses laves abyssales te parcourent le ventre
D’amours et d’eaux vives, un continent
Magma rougeoyant dans le creux de l’antre
Qu’en fusion, d’éruptions te répands
L’amour en fissures que déverse tes flancs
Des pentes embrase les vies qu’il emporte
Des vals en brasiers ce temps en courant
Et libère ses coulées de feu qui te portent
Et mouvances que d’autres voies envoutent
Toi, ce volcan, de voute et de dôme éventrés
Doutes qui fleuves incandescents déroutent
Puis figent d’effrois aux cœurs décors pétrifiés
… APHIZ
08-XI-2011
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