Ce n'est qu'une fois terminée que je me suis aperçue que cette figure prostrée dans l'attente, enfermée dans la camisole de l'empêchement, avait la même posture que celle des femmes aliénées dans les hôpitaux psychiatriques du début de siècle.
Sans doute l'a-t-elle prise par peur que cette paralysie exprimée, qui était la mienne à cette époque, ne m'y conduise un jour.
1 commentaire:
là encore, quelle force! on ne peut pas ne pas penser aux Claudel, frère et soeur.
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